Il annonce le courant romantique à venir. L'expression des sentiments se fait par la déformation des corps. Il y a dans sa peinture une forte présence de la matière, la touche est apposée avec une vigueur appuyée. Ses sujets traitent de la folie meurtrière, de l'horreur de la guerre, de la désillusion de la nature humaine.
Il annonce le courant romantique à venir.
Le Romantisme : fin du 18e siècle, jusqu'en 1850. Ce courant voit le jour en réaction contre les canons académiques néoclassiques.
Il aborde des sujets nouveaux comme le fantastique issu de la littérature populaire, l'ambiance est donnée par une esthétique mélancolique, il se dégage un sentiment de nostalgie.
La première génération de Romantiques voit le jour en Allemagne avec Caspar David Friedrich, puis en France avec Théodore Géricault et Eugène Delacroix par exemple.
Il aborde des sujets nouveaux comme le fantastique issu de la littérature populaire, l'ambiance est donnée par une esthétique mélancolique, il se dégage un sentiment de nostalgie.
La première génération de Romantiques voit le jour en Allemagne avec Caspar David Friedrich, puis en France avec Théodore Géricault et Eugène Delacroix par exemple.
Le Réalisme : Ce courant artistique voit le jour au milieu du 19e siècle, en réaction contre le Romantisme. Les artistes sont en quête du réel, et prônent pour une représentation brute de la vie quotidienne. Ils rejettent les sujets historiques et veulent moderniser l'art. L'époque du 19e siècle est tiraillée entre nostalgie du passé, la transmission des traditions et l'évolution sociale et les progrès techniques.
Le réalisme défend l'art instructif et moralisateur. Il abandonne les sujets mythologiques, religieux et historiques.
Pour ce mouvement, le vrai sujet est la vie moderne et sociale des paysans, des ouvriers et de la bourgeoisie provinciale.
Le réalisme défend l'art instructif et moralisateur. Il abandonne les sujets mythologiques, religieux et historiques.
Pour ce mouvement, le vrai sujet est la vie moderne et sociale des paysans, des ouvriers et de la bourgeoisie provinciale.
« Le fond du réalisme c'est la négation de l'idéal ». Gustave COURBET
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.